1) J'ai découvert sur Google la publication NON AUTORISÉE d'un article que j'ai publié dans la Revue Notre Histoire qu'un site a reproduit dans son intégralité sous un TITRE ERRONÉ, SANS NOM DE L'AUTEUR NI DE LA SOURCE (REVUE, ANNÉE)
http://www.sigilart.com/_sjinfo/spip/IMG/doc/LA_RENCONTRE_DE_SAINT_JACQUES_ET_DES_DIVINITES_DU_NOUVEAU_MONDE.doc.
2) Une certaine Denise Péricard-Méa a utilisé dans son ouvrage paru en 2010 SANS AUCUNE AUTORISATION DE MA PART des textes qui sont l'objet de mes recherches doctorales. L'auteur, sans m'en demander l'autorisation ni m'aviser de leur publication, s'est permise de les utiliser aux pages 77, 80, 81.
La seconde partie de mes travaux a été UTILISÉE À MON INSU. L'AUTEUR N'A REçU AUCUNE AUTORISATION POUR PUBLIER DES TEXTES RESTÉS INÉDITS qu'elle était parvenue à s'approprier sous des prétextes fallacieux et ne comporte , quant à elle, AUCUNE MENTION DU NOM DE L'AUTEUR. Il s'agit de pages portant sur la fête des Maures et des Chrétiens** que j'ai analysée en Amérique du sud: Mexique, Equateur. Pages 80 et 81. De surcroît, sous prétexte d'inclure (à ma demande) sur son site saintjacques.info, un "erratum", elle s'est permise, outrepassant les lois sur la propriété intellectuelle, de divulguer une fois de plus alors que je le lui avais interdit, l'intégralité du texte faisant déjà l'objet d'un litige.
Elle et son éditeur ont enfreint la loi sur la propriété intellectuelle qui qualifie de "contrefaçon" l'utilisation frauduleuse de la création d'autrui. Elle n'a évidemment pas indiqué que j'étais Docteur de l'université, ce qui permettrait aux lecteurs de retrouver mes travaux (thèse, article, ouvrage).
J'ai adressé à deux reprises des lettres recommandées à Mme Péricard Méa et à son éditeur afin d'en obtenir dédommagement.